Zaraki Kenpachi

Bon voici la mienne. Le RP suivra...

Nom : Kenpachi

Prénom : Zaraki

Age : Inconnu

Appartient à : La onzième division

Classe : Capitaine

Nom du zanpakuto: Inconnu

Description du shikai : Inconnue

Description du bankai : Inconnue

Description physique :
Zaraki est un colosse de plus de deux mètres de haut à la mine pas franchement rassurante. Il est caractérisé par son imposante taille, sa coiffure « spéciale » faite de pique au bout desquels pend une clochette et son sourire carnassier, entre autre. Il porte actuellement le kimono réglementaire de tous les capitaines de division des shinigami du goteï 13. Son corps est couvert de cicatrices témoignant des nombreux combats qu’il a livrés, laissant imaginer qu’il n’a pas d’aversion pour le carnage, voire peut être le contraire….

Description morale :
Zaraki est un capitaine aux valeurs droites, il a une ligne de conduite et n’est pas du genre à en changer à chaque changement de temps. Il aime le combat et les braves guerriers et s’écœure lorsqu’il voit des lâches.
Pour le combat n’est terminé que par la mort de l’un des deux combattants, généralement son adversaire. Ceux qui tentent de s’enfuire durant un combat sont pour la plupart poursuivit et abattu. Zaraki respecte plus quelqu’un qui combat de toutes ses forces mais perd que quelqu’un qui s’enfuit sans tenter sa chance.
C’est un homme fidèle et loyal envers ses « amis » possédant un sens de la justice assez étrange. Il est impétueux et toujours prêt à répondre à une provocation dégainant son sabre plus vite que son ombre. Il a un sens de l’orientation plutôt faible qui devient inexistant lorsqu’il est accompagné de son lieutenant Kusajichi Yachiru. Elle lui indique la direction à prendre et il s’en remet à elle, cependant la suivre le fait à coups surs atterrir dans une impasse. Ainsi un trajet prenant à une personne normale, une demi-heure, peut devenir pour eux deux une expédition de 15 jours dans tout le seireitei.
Une des autres faces de Zaraki, sans doute la moins connue au vue de son austérité naturelle, est son coté « décontract » que seul Shunsui et certains membre de sa division connaisse vraiment. Il ne refuse d’ailleurs jamais un bon verre avec son ami et collègue en regardant une magnifique lune ( à moins que ce ne soit boule de panchinko^^)

Histoire :

Zaraki etait un guerrier sans nom, vivant de combat et de massacre dans le rukongaï. Le Rukongaï est une ville qui compose avec le Seireitei la soul society. Le Seireitei est une zone pour les âmes privilégiées, celles qui ont une grande énergie spirituelle. Le rukongaï est une ville morcelée en quartiers chacun étant plus terrible et sombre que l’autre. Si le quartier numéro 1 est le plus calme et agréable à vivre le dernier, le numéro 80 en revanche, est le plus immonde et celui où la survie tient du miracle. C’est dans ce quartier qu’apparaît Zaraki, il y mène une vie de combat, repoussant chaques jours ses limites devenant toujours plus fort. Doué d’une force spirituelle immense, il parvient à vaincre tout les plus grands guerriers du 80 et quitte donc celui ci pour partir à la recherche de nouveau adversaire dans le 79.
C’est dans ce quartier qu’il va faire la découverte d’une petite créature qui deviendra par la suite son lieutenant. Un jour après avoir massacrer tout un groupe de personne il fait la connaissance d’une petite gamine aux cheveux rose comme les pétales de cerisiers. Loin d’être effrayer, celle ci semble s’amuser dans ce décor lugubre de sang et de cadavre. L’insouciance, la candeur et la force spirituel de cet enfant vont impressionner le guerrier qui le prendra sous son aile et en fera son compagnon de chaque jours. Il lui donnera le nom qu’il à toujours voulu porter « Yachiru » et comme prénom le nom du quartier d’où elle venait, « kusajishi ».
Par la suite il rencontrera un guerrier du nom de Madarame Ikkaku et son ami fidèle Ayasegawa Yumichika. Suite a leur duel Ikkaku et Zaraki s’entendront et se suivront dans la suite de leur histoire car, malgré sa défaite, Ikkaku, loin de nourrir de la rancune contre son adversaire, s’emplira d’admiration. Il le suivra et fera tout pour se faire respecter de lui, lorsque celui ci deviendra capitaine, Ikkaku deviendra son officier.
Un jour, il entre au seireitei et bien qu’étant d’origine modeste et sans entrer dans l’Académie il finira par devenir capitaine. Il y a trois façons de devenir capitaine, et l’une de ces façons, celle choisi par Zaraki, loin de briller par sa complexité tient le mérite d’être efficace et sans appel. Il s’agit de vaincre le capitaine d’une division, sous le regard de toute la division. C’est en accomplissant cet acte que Zaraki devint le nouveau capitaine de la 11eme division se mettant à dos l’ancien lieutenant « Ichinose Maki ». Il deviendra très vite un grand capitaine respecté de ses hommes et ne connaîtra la défaite que lors de son combat contre Ichigo. C’est à ce moment qu’il se rend compte que ne compter que sur sa force et ne jamais faire confiance ni parler à son soul slayer le condamnait à faire stagner sa force. Il tente à partir de ce moment de palier a ce problème même si jusqu’a maintenant on ne connaît toujours ni son nom ni donc sa forme shikaï et bankaï. Il est et reste donc le seul Capitaine à n’utilise que des techniques au sabres sans jamais utilise le moindre sort.

Voici le rp ( enfin... c'est la faute à caim)

Elle etait là étendue, calme, étrangement calme, presque heureuse. Pourquoi ? Comme elle à souffert ! Ils étaient plusieurs. Ils l’ont battu, ils l’ont souillé. Pourquoi se calme ? Pourquoi cette sérénité ? Peut être est-ce le calme après la tempête, le repos de la mort, la paix sépulcrale. Non ! Cette sérénité est du à la joie d’une mère d’avoir put protéger son enfant. Peut être que c’est ça le plus dur, si au lieu de cette quiétude avait retentit le cri d’une mère…
Zaraki s’éveilla en sursaut et tremper de sueurs, ce rêve, toujours ce même rêve. Les battements de son cœur se calmaient enfin et ses yeux quittèrent les dernières et terribles images de son cauchemar. Il vit le décor que son regard avait laissé après avoir rejoins Morphée soit la chambre crasseuse d’un hôtel abandonné.
Il récupéra ses affaires et sorti de son abri minable. Il serra fort son katana en repensant à son rêve. S’il avait été plus fort, s’il n’avait pas eu peur, s’il avait eu cette arme… peut être serait-elle encor en vie. Il ne se pardonnait pas cette faiblesse, cette lâcheté. Il se l’était promis, plus jamais fuir, ne plus jamais ressentir aucunes peurs, devenir toujours plus fort.
Il serra son katana plus fort encor en imaginant qu’il retrouve un jour ceux qui lui avait brisé sa vie. Sa mère n’avait eu que le temps de le cacher, elle ne put même pas dégainer l’arme de son défunt mari qu’elle fut acculée par ses agresseurs. Ils s’étaient jetés sur elle avec une sauvagerie inhumaine. Le 80eme quartier du Rukongaï était bien le plus cruel et violent, le plus horrible.
C’est dans ce monde de violence, de larmes et de sang que grandit Zaraki. Prenant le sabre que sa mère serra contre son cœur jusque même après son dernier souffle. Ce même Katana qui serait l’instrument de la vengeance de son fils. Gravitant dans ce monde tel un spectre il arpentait les chemins, traversait bois et villages à la recherche de guerriers pour éprouver sa force.
La mort ne l’effrayait pas, elle était même préférable à la fuite, s’il n’était capable d’être le plus fort, c’est qu’il n’avait plus aucune raisons d’être. Les faibles ne méritent que la mort, la vie est un combat que l’on doit gagner, il n’y a pas d’alternative.
Il arriva sur la place lorsqu’une personne l’interpella. Il s’agissait d’un type énorme et massif tout autant que son épée qui était un défi à la logique des forces. Il était entouré de toute une équipe d’épouvantails allant du personnage malingre et rachitique au regard de fouine jusqu'à des hommes d’apparences grotesques, presque plus animal qu’humains.

Tu es bien celui que l’on nomme « le démon Zaraki » ? Le tueur présumé d’un millier d’hommes ?

C’est bien moi ! Que me veut-tu ? Sache avant tout que si c’est le combat que tu cherche, je puis te dire tout de suite que tout seul tu n’es pas de taille, aussi te conseillerai-je de lancer tous tes hommes contre moi. Autrement j’ai bien peur que le combat ne se termine trop vite.

Jeune insolent ! Sais-tu combien de mort moi seul ai à mon actif ? Je terrorise ces lieux depuis bien plus longtemps que toi. Je serai bien suffisant pour t…

Tu grogne et tu hurle comme un animal, mais cela ne fait pas de toi un guerrier. Ce qui effraie chez toi c’est ta stupidité, rien d’autre. Aussi, ne me sous estime pas, cela serait ta plus mortelle erreur.

Aussitôt Zaraki sorti son sabre près à en découdre avec ces brutes écervelées. Son adversaire fut choqué de revoir un tel sabre et en jubila d’avance. Tenant de quoi rabattre le caquet de ce jeune coq.

Ce sabre ! Je l’ai déjà vue. Il était entre les doigts glacé d’une femme qui s’était refusée à moi. Ni elle ni son époux n’avaient put tenir face à moi. Et voilà que leur minable rejeton se dresse devant moi. Crois-tu vraiment que tu sois capable de réussir là où tes parents ont échoué ? Je l’ai vue te cacher… tu croyais peut être que je ne te remarquerais pas, tremblant derrière ton buisson ? Tu n’as pas même eu le courage de pousser un cri, tu as laissé ta mère mourir sous tes yeux. Et maintenant tu penses me vaincre ? Tu me fais rire ! Je suis sure que tu n’imaginais même pas dans ton pire cauchemar me retrouver sur ta route.

Zaraki serra son sabre si fort qui en fit blanchir ses phalanges. Les battements de son cœur s’accélérèrent et de ses yeux commencèrent à couler des larmes. Depuis la mort de sa mère pas une seule n’avait mouillé ses joues. Ses cheveux se hérissèrent sur sa tête et un frisson parcourut son échine. Les autres le virent tressaillire et se moquèrent de lui imitant grossièrement les pleurs d’un nourrisson.

Alors quoi ? Où es passé le terrible guerrier qui pensait venir à bout de nous tous ? Où s’est-il enfuit ? Je ne vois qu’un enfant apeuré qui tremble et cherche le moyen de s’enfuir pour éviter un combat perdu d’avance. Tu peux fuir petit, soit à nouveau un lâche, lâche comme tes parents et tous ceux qui…

Zaraki releva la tête avec sur les lèvres un rictus sardonique si effrayant que tout les hommes imprimèrent un mouvement de recule. Ses yeux étaient injectés de sang et pétillait d’une soif de mort et de carnage qui ébranlât plus d’un. Alors son rire retentit, clair, puissant, coupant la phrase de son adversaire. Un rire semblable à celui d’une personne ayant échappé aux démons de l’enfer.

M’enfuir ? Voilà bien la chose la plus inenvisageable qui soit. Tu as raison ! Je n’imaginais pas pouvoir un jour tomber sur toi. Néanmoins c’était loin d’être un cauchemar pour moi. Tu n’imagine même pas depuis combien de temps j’espère te retrouver et laver ma honte et celle de ma mère. Ce jour pour moi est béni, car il verra ta mort et mon triomphe.

Sitôt sa phrase finie, il se jeta sur ses agresseurs, la proie devenant le chasseur. Surpris par la hardiesse de son adversaire, le chef des bandits lança toutes ses forces contre lui. Son katana fendit l’air et les bandits tombèrent tous les uns après les autres sans opposer de résistances, sans même le ralentir. Il ne resta bientôt plus que Zaraki et sa proie. Il se tenait l'un en face de l’autre, tous deux tremblant, l’un d’excitation, l’autre d’effroi. Comment ce pouvait-il qu’un tel monstre existe ? Etait-ce vraiment un humain ?

Si tu crois que tu pourras me vaincre aussi facilement que mes hommes tu te trompe sale monstre, je suis rompu à plusieurs formes de combat et…

C’est moi le monstre ? Mais moi je n’ai combattu que des gens qui pouvait se défendre, voire me vaincre. Je ne t’autorise plus à parler, il est temps pour toi de mourir.

Le combat entre les deux hommes qui s’ensuivit fut décevant pour Zaraki. En effet dès la sixième passe le bandit décrivit de son sabre un large mouvement pour essayer de contraindre son adversaire à reculer mais tout ce qu’il fit c’est d’ouvrir sa garde laissant son abdomen sans défense pensant pouvoir reprendre sa position une fois son adversaire à distance. Cependant le jeune guerrier n’était pas du genre à craindre une égratignure. Le coup du bandit le touchât à l’épaule, entaillant sa chaire. Ce faisant, il avait une ouverture, se fendit et perçât le ventre de son adversaire.
Celui ci s’écroulât à terre comprimant son ventre pour tenter d’arrêter l’hémorragie, en vain car la lame avait perforé le bas ventre vers la cuisse déchirant l’artère fémorale. Ne se doutant de sa fin prochaine, il tentât de fuir, suppliant Zaraki de lui laisser la vie sauve, la aussi en vain.

Tu n’as eu aucun honneur dans ta vie ! Tu t’es conduis comme un lâche et comme un animal. Tu ne mérite rien d’autre que la mort.

Le bandit se traînât au sol, rampant comme un ver, pour échapper à son bourreau. Il fut brusquement arrêté quand le sabre de Zaraki le clouait sur le sol comme un vulgaire insecte. Il poussât un cri d’agonie qui se terminât par un long râle, puis tous ses muscles se relâchèrent et il s’affaissât.
Zaraki s’assied sur un banc écoutant les battements de son cœur qui se calmait après la bataille. Il était heureux car même si le combat etait décevant du fait de sa simplicité, sa croisade pour le salut de sa mère prenait fin. Il se dit que désormais il serait le plus fort mais seulement pour lui et chercherait les adversaires les plus forts pour éprouver sa force. C’est donc le cœur serein et empli d’une nouvelle force qu’il quittât la ville.

voila un rp bien original qui sort de l'ordinaire.

Ta fiche est de bonne facture , malgré de petites fautes mais vraiment rien de grave , surtout que , te connaissant depuis un bon moment , j'ai l'impression que tu t'es amélioré .

Mis à part ça , la mise en page qui me genait un peu dans la fiche ne pose pas de probleme quant à mon accord pour ta validation.

Attention à vous , l'admin bourrin du staff est de retour

Arf va faloir que je me tienne un carro alors

Tu fais bien de le dire oui^^. Et tu as de la chance que je ne sois pas venue plus tôt parceque tu aurais compris pourquoi je suis Zaraki... Ne t'en fais pas... tu n'es pas seul sur ma liste... Stark est également dans mon colimateur^^

Oula detend toi un peu On se croirrait pas trop dans un jeu la ^^ Que tu prenne ton role au serieux Ok mais va pas faire de la mechanceter gratuite non plus... Oublie pas sa reste un jeux!!!

Merci chere collegue^^
pour toi shinji, ne flippe pas!^^ je ne vais pas te chercher chez toi pour te buter^^ lol
Quoi que....

Je flippe pas je dit juste que c'est pas la peine de se prendre la tete! Sinon ( pour arreter le flood) Belle presentation et bonne chance pour la suite

oui il me semble plus que raisonnable d'arrêter votre flood !

fiche verrouillée!